supported by 16 fans who also own “Death Metal Hell”
Sørbyen, c'est un recueil de complaintes d'un éternel inadapté ; la pause clope tranquille se fait seul : netra tourne le dos à la ville et son accoutrement fait tâche dans ce paysage neigeux. La musique est à l'image de la pochette : plus calme, certes, mais à part, aliénée et on ne s'y sent jamais chez soi. Le trip-hop ne transmet aucune chaleur ; le black metal est souvent accompagné de chants folk mais déprime encore plus ; la techno ne donne pas envie de bouger. La douleur est viscérale... Jordan Vauvert
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Equinox, split entre Ancient Tundra et Old Forgotten Lands, est une expérience de dark ambiant qui nous met entre chiens et loups. Bien que rétros, les atmosphères sont hypnotiques et chargées de mystères. Finalement, c'est dommage que le concept de l'équinoxe ne soit pas poussé jusqu'au bout et que le temps imparti pour les deux artiste ne soit pas équitable car N Skog finit par éclipser involontairement Elan O'Neal. En tout cas, les cinquante minutes sont certes lugubres mais très agréables. Jordan Vauvert
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Faces of Insanity, troisième album du groupe russe Epitimia, est parsemé de concepts psychiatriques mais le plus important est, je pense, celui du test de Rorschach : ce qui compte, ce n'est pas la perception mais l'interprétation. Pour pousser à cet effort, Epitimia navigue volontairement entre deux eaux : la production, les guitares et le chant ont le tranchant du DSBM (Epitimia se rapproche de Psychonaut 4 sur la cinquième piste) mais les mélodies sont très riches, voire groovy. C'est fort ! Jordan Vauvert